Effectuer un ravalement de façade optimal dépend souvent du revêtement installé sur l’immeuble. Celui-ci peut se définir par une couche spécifique mise sur le mur et qui sert à la fois comme protection des dégradations causées par les intempéries la pollution mais aussi comme décoration. Embellissez 
votre façade avec l’aide du prestataire Harmonie SAS, expert en copropriété et rénovation énergétique. Ils vous accompagneront dans votre démarche de réalisation de rénovation et de ravalement de façade à clichy ou toutes autres villes de la région. Focus sur quatre exemples de revêtements de façade. Ce sont les plus courants que l’on retrouve en région parisienne.
En premier lieu, le plus utilisé reste l’enduit de façade. Il s’agit d’une couche de mortier placée directement sur la façade. Facile d’application et relativement bon marché, cette technique est appréciée des professionnels. Néanmoins, elle est plus utile pour la décoration que pour ses performances d’isolations, qui sont relativement atténuées.
Ensuite nous retrouvons le parement de façade. Pour ce revêtement, on applique sur le mur une plaquette de parement qui embellit la façade tout en améliorant grandement les capacités isolantes de l’habitat. C’est avec cette technique que l’on peut admirer de magnifiques bâtiments en pierre, roche ou marbre.
La troisième technique est bardage de façade qui agrandit considérablement l’isolation thermique du bâti. Le bardage est le revêtement le plus utilisé dans le cas d’un chantier d’isolation thermique. Il est très efficace dans la protection des intempéries. Mais il faut le préciser : cette solution coûte plus chère que les autres.
Enfin, la dernière technique que nous vous présentons est sans doute la plus esthétique des quatre : la végétalisation de la façade. Cette solution tendance est appréciée de tous en particulier si vous souhaitez une maison écoresponsable. Améliorant grandement l’étanchéité et l’isolation thermique du bâtiment, le mur végétal est sera un gros poid sur votre budget de frais de rénovation.
